En cette année 2025, la marque Alpine fête ses 70 ans.
Avec l’aide de Wikipédia, faisons un petit survol de son histoire et des différents modèles (crédits photos BG).
Jean Rédélé, concessionnaire Renault à Dieppe, participe à divers rallyes en 4CV aux débuts des années 1950. Après plusieurs victoires sur les routes alpines lui inspirant le nom, il crée sa société en 1955 pour développer un modèle dérivé de ladite 4CV.
L’ A106 est née, produite à 251 exemplaires de 1955 à 1961.



L’ A108, sa remplaçante directe sera produite à 2 322 exemplaires de 1958 à 1965.



Une version berlinette sera produite pour la compétition à partir du cabriolet et donnera lieu à sa remplaçante l’ A110, produite à 7 579 exemplaires de 1962 à 1977.






En 1965, Alpine s’associe avec Renault et dès 1966 les voitures seront distribuées par le réseau de la Régie. Pour faire face à une demande grandissante, un second site plus productif est créé à Thiron-Gardais (28) en 1968 (site qui cessera sa production en 1974). En 1972, une grève paralyse l’entreprise et dès 1973 Renault devient majoritaire dans la société.
Jean Rédélé (qui quittera la société en 1978, ne se sentant plus maitre chez lui) rêve d’une voiture de grand tourisme. L’ A310 sera donc créée pour les conducteurs désirant rouler au quotidien, l’ A110 étant trop exigeante côté conduite. Elle sera produite à 11 784 exemplaires de 1971 à 1984.



Les modèles GTA (produit à 6 494 exemplaires de 1984 à 1991) et A610 (produit à 818 exemplaires de 1991 à 1995), siglés Renault – Alpine souffrent de nombreuses critiques entrainant l’arrêt de la production.



La renaissance d’Alpine est officiellement annoncée fin 2012 et prend effet en 2017 à l’occasion du lancement du nouveau coupé de la marque reprenant le nom des berlinettes, l’A110. Sa fin de production est déjà programmée et elle devrait s’arrêter vers juin 2026 pour un total d’environ 30 000 voitures produites.


Ensuite, il semble que les modèles électriques viennent prendre la relève, à moins que l’hydogène ne passe par là…

